La pêche à travers le monde entier ces dernières années a été soumise à une pression énorme pour satisfaire les besoins en alimentation d’une population en perpétuelle croissance. A force, le recours à la pêche de haut niveau, devenue difficilement soutenable et à l’exploitation intensive des océans menacent de dépasser leur capacité à maintenir la vie marine telle que nous la connaissons.

Pour cela, il est plus que jamais nécessaire de promouvoir et appuyer la gestion responsable de la pêche au niveau mondial. Les organisations écologistes comme WWF et Greenpeace ont joué un rôle important en réveillant la conscience de chacun à ce problème et en collaboration avec les autorités locales et organisations internationales comme la (FAO) ont développés de façons d’agir qui donnent lieu d’espérer que l’avenir de la vie en mer sera préservée pour les générations futures.
Conscients des menaces posées au milieu marin par l’augmentation de la pêche intensive nous suivons dans nos activités les recommandations des agences de scientifiques et des organisations environnementales en tenant compte que différents intérêts sont en jeu (L’industrie, L’ approvisionnement de la population, les communautés marines locales) , ainsi que les difficultés à avoir une vision réelles de la population de poissons concernés. Les critères pour maintenir le développement de la pèche ne sont pas unanimes tenu en compte des degrés d’exploitation exploitations et de leur niveau de menace mais sur certains points nous sommes d’accord:

  • La sécurité que tout le poisson utilisé provient de la pêche contrôlée, ce qui impliques de respecter les normes sur les tailles minimum, les espèces protégées, l’ époque de pêche et les comptes de capture. Pour cela nous exigeons que le traçabilité de la chaine extractive et productive soit certifiée d’une façon qui permette d’indentifier la provenance de tous les poissons et ingrédients utilisés.
  • Utilisation des méthodes de pêche sélectives. Etant donné que la pêche avec hameçon et la pêche à la senne sont moins nuisibles que les réseaux de trainage, après avoir réduit la pression sur les lieux de pêche et après avoir mi miser les séparations d’espèces ou de tailles sans intérêt commercial, le poisson que nous traitons est pêches avec des embarcations traditionnels. Comme le thon que nous utilisons est pêché à la ligne, le maquereau provient de la côte Cantabrique, les fruits de mer des confréries de la Rias Galicienne, etc.
  • Favoriser la pêche locale. La consommation de poisson originaire de pêche voisine n’aide pas seulement au maintien des communautés et de leur formes traditionnelle de vie, maïs en évitant un long transport de la marchandise à travers la moitié du monde, contribue a l’efficacité énergétique et la diminution de l’empreint de Carbonne.